Ma vie s’envole du haut des nuages pluvieux et gris
Par-dessus les visages pâles et les maisons de crépis
Mon cœur vacille entre joie et peur aux soubresauts atmosphériques
Ma tête se perd dans les images d’un pays féérique
Dure comme une naissance est l’atterrissage de l’esprit
En terre inconnue et si loin de ce qu’il a appris
La violence des freins sur la piste est telles les contractions les plus fortes d’une mère
Et les pleurs nostalgiques de ce passager qui réalise qu’il a perdu tout ses repères
L’inconnu interroge dans les regards des naturels
L’inconnu est hors de porté de leur mode usuel
L’inconnu est la menace du changement futur
De ses bagages sort le mélange des cultures